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Dès 2015, l’Institut Jean Lamour a fait partie des laboratoires pilotes de l’Université de Lorraine (UL) volontaires pour travailler à la mise en place d’archives ouvertes sur HAL. L’import des publications a pu démarrer en 2016 et, 6 ans plus tard, le bilan est très positif : 81% des articles de l’IJL sont disponibles en texte intégral et ils sont beaucoup consultés.

L’IJL a inauguré le 1er juin 2022, aux côtés de ses tutelles et partenaires, sa plateforme d’élaboration additive. Cet ensemble de 4 salles est regroupé au sein de l’équipe de recherche technologique Matériaux et Procédés Additifs, dirigée par Samuel Kenzari.

A l’heure où la découverte de nouveaux matériaux est un enjeu majeur pour les grandes transitions dans les domaines de l’énergie, l’environnement, le numérique ou la santé, l’ambitieux programme de recherche DIADEM a été lancé le 7 juin 2022.

De janvier à avril 2022, l’IJL a accueilli dans ses locaux Juliette Lefèvre, étudiante en Master 2 design graphique, photographie, direction artistique de l’ENSAD Nancy. Elle y a réalisé son projet de diplôme "Mettre en image la recherche", soutenu avec les félicitations du jury le 24 mai 2022.

Dans le cadre d’un projet financé par l'Agence Nationale de la Recherche (ANR), les équipes de l’IJL et du Laboratoire Hubert Curien ont développé une méthode originale pour la formation de réseaux de nanopuits lors de l’irradiation laser d’un film mince de verre métallique.

L'Institut Jean Lamour est engagé dans la simulation des procédés d’élaboration sous vide où, à très haute température, les alliages métalliques liquides peuvent s’évaporer conduisant à des pertes de matière.

Nos chercheur.es ont étudié le composé YbPd, qui présente un comportement unique avec la coexistence d’un effet Kondo et d’une onde de densité de charge.

Des représentants de Photonis ont visité l’IJL en mai 2022. Cette société spécialisée dans le développement, la fabrication et la vente de technologies de photo-capteurs innovants est basée à Brive-la-Gaillarde. La fabrication de lunettes de vision nocturne par photomultiplication, en premier lieu pour l’armée française, est son cœur de métier.

Des architectures carbonées poreuses obtenues par impression 3D d’une résine photopolymérisable contenant des tanins de mimosa ont été étudiées par nos chercheur.es. Elles font ainsi entrer les carbones biosourcés dans l’ère de la fabrication additive !

Membre de notre équipe Matériaux Biosourcés, Alain Celzard fait partie des 164 lauréats 2022 de l’Institut Universitaire de France (IUF) et en devient membre senior pendant 5 ans, à compter du 1er octobre.