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Les oxydes anodiques d’aluminium sont largement utilisés comme matrices pour la synthèse de nanomatériaux. En effet, les nanostructures formées par anodisation (=oxydation électrochimique) de l’aluminium présentent l’avantage de contenir une densité de pores élevée et une morphologie modulable.

Dans ce travail, le mouvement des parois de domaine magnétique dans un réseau de spin artificiel conduit à une réponse stochastique accordable du métamatériau, qui peut être ajoutée par un champ magnétique externe ainsi que par des modifications locales du réseau.

Les phénomènes de résonance se produisent avec tous les types d'ondes : électromagnétiques, optiques et acoustiques.

L’entreprise De Buyer, basée au Val d’Ajol dans les Vosges, fabrique des ustensiles de cuisine professionnels exportés à des restaurateurs dans le monde entier. L’IJL vient de finaliser avec elle une collaboration fructueuse portant sur un traitement de surface anti-corrosion.

Maître de conférences à l’Université d'État en technologie de l’information, mécanique et optique de St-Pétersbourg (ITMO), en Russie, Valentin Milichko collabore depuis 2017 avec nos équipes sur la croissance cristalline et la conception de nouveaux matériaux originaux pour l'optique non linéaire.

Le laboratoire commun de recherche (LCR) MOLIERE impliquant l'IPCMS, l'IJL et Dassault Aviation a été lancé officiellement le 5 juillet 2021. Il rejoint les 200 LCR du CNRS avec, pour objectif, d'inscrire dans le temps la recherche collaborative sur les matériaux pour l'aéronautique.

L’IJL a reçu une livraison très spéciale les 23 et 24 juin 2021 : 13 bobines de cuivre, pesant chacune entre 1.7 et 3.4 tonnes ont quitté l’Institut Max-Planck de physique des plasmas à Garching en Allemagne, pour rejoindre l’IJL à Nancy.

Le 20 juin 2021, exactement 250 ans après la mort du célèbre serrurier (ferronnier d'art) Jean Lamour, la ville de Nancy a souhaité lui rendre hommage à travers un événement. L’Institut Jean Lamour était présent lors de cette journée et présentait sur son stand au Palais du Gouvernement ce qui le rapproche de l’artisan : la métallurgie et… les nanosciences.

Maryam Massouras a récemment intégré le Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies-C2N (CNRS/Université Paris-Saclay), à Palaiseau, en tant que post-doctorante. Elle revient ici sur sa thèse menée à IJL et évoque comment la complémentarité de ces deux laboratoires a influencé son parcours.

Début 2021 a été lancé le projet THYMO (Traitement hydrométallurgique de cartes électroniques de téléphones mobiles). Financé par l'Institut Carnot ICEEL, il a pour objectif de mettre en place un procédé de traitement et de récupération des métaux contenus dans les cartes électroniques des mobiles.