Actualités

L’IJL a reçu une livraison très spéciale les 23 et 24 juin 2021 : 13 bobines de cuivre, pesant chacune entre 1.7 et 3.4 tonnes ont quitté l’Institut Max-Planck de physique des plasmas à Garching en Allemagne, pour rejoindre l’IJL à Nancy.

Le 20 juin 2021, exactement 250 ans après la mort du célèbre serrurier (ferronnier d'art) Jean Lamour, la ville de Nancy a souhaité lui rendre hommage à travers un événement. L’Institut Jean Lamour était présent lors de cette journée et présentait sur son stand au Palais du Gouvernement ce qui le rapproche de l’artisan : la métallurgie et… les nanosciences.

Maryam Massouras a récemment intégré le Centre de Nanosciences et de Nanotechnologies-C2N (CNRS/Université Paris-Saclay), à Palaiseau, en tant que post-doctorante. Elle revient ici sur sa thèse menée à IJL et évoque comment la complémentarité de ces deux laboratoires a influencé son parcours.

Début 2021 a été lancé le projet THYMO (Traitement hydrométallurgique de cartes électroniques de téléphones mobiles). Financé par l'Institut Carnot ICEEL, il a pour objectif de mettre en place un procédé de traitement et de récupération des métaux contenus dans les cartes électroniques des mobiles.

La génération d’électricité par effet Seebeck offre une solution élégante pour valoriser les énormes quantités de chaleur dissipées quotidiennement dans notre environnement. Cette technologie présente de nombreux avantages en terme de fiabilité, de maintenance et d’absence de vibrations, qui la rendent attractive pour l’exploration spatiale (par exemple pour les sondes lancées dans l’espace profond, telles que Voyager ou les rovers Curiosity et Perseverance sur Mars), et pour de nombreux domaines industriels pour, par exemple, alimenter des capteurs autonomes.

Nos Talents CNRS 2020, Vanessa Fierro et Carlos Rojas-Sánchez, ont reçu respectivement une médaille d'argent et une médaille de bronze au cours d'une cérémonie, qui s'est tenue le lundi 14 juin 2021 à l'Espace Cours d'Épinal.

La fonctionnalisation de polymères thermoplastiques est essentielle au développement des composites multi-matériaux afin de favoriser leur compatibilité. Cependant cela se fait au détriment des propriétés mécaniques. Hormis l’intérêt d’utiliser cette famille de matériaux pour l’allégement de structures, leurs propriétés d’absorption de choc est recherchée et nécessite une importante ductilité. La réticulation partielle est une solution qui permet d’assurer la conception des composites tout en assurant des propriétés mécaniques supérieures à la matrice initiale (résistance à la traction et allongement à la rupture).

L’équipe Mesure et Architectures Electroniques de l’IJL mène depuis plusieurs années des recherches en vue de mettre au point des systèmes de prévention d’incendie intégrés dans des disjoncteurs électriques.

Les équipes de l’Institut Jean Lamour – IJL (CNRS / Université de Lorraine) viennent de relever un véritable défi technologique : intégrer des propriétés magnétiques à des matériaux imprimés en 3D, sans post-aimantation. Il s’agit là d’une première mondiale avec ce niveau de performance et ces travaux ouvrent la voie à l’impression 4D d’objets magnéto-actifs. Ce procédé de fabrication d’aimants avec une imprimante 3D grand public est en cours de transfert au sein d’une entreprise du Grand Est.